La Garde-Freinet
La Garde-Freinet | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Var | ||||
Arrondissement | Draguignan | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Golfe de Saint-Tropez | ||||
Maire Mandat |
Thomas Dombry 2020-2026 |
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Code postal | 83680 | ||||
Code commune | 83063 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 831 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 24 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 19′ 03″ nord, 6° 28′ 12″ est | ||||
Altitude | Min. 60 m Max. 674 m |
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Superficie | 76,64 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Luc | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Var
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Liens | |||||
Site web | lgf83.fr | ||||
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La Garde-Freinet est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La Garde-Freinet est l'une des douze communes composant la communauté de communes du golfe de Saint-Tropez.
Le village est situé par la route à 20 km de Saint-Tropez, 35 km de Draguignan et 70 km de Toulon.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Le Cannet-des-Maures, Collobrières, Grimaud, Les Mayons, Le Plan-de-la-Tour et Vidauban.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Installée sur les reliefs du massif des Maures, la position de sentinelle du village au col lui valut l’appellation de « garde » d’où le nom de La Garde-Freinet[1]. Ce village est le plus élevé du massif des Maures
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]Départementale 558 Le Cannet-des-Maures - Grimaud[2].
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Commune desservie par le réseau régional de transports en commun Zou ! (ex Varlib). Les collectivités territoriales ont en effet mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![3].
Lignes SNCF
[modifier | modifier le code]- Les gares les plus proches sont : la gare des Arcs - Draguignan, la gare de Saint-Raphaël-Valescure et la gare d'Hyères.
Transports aériens
[modifier | modifier le code]Les aéroports les plus proches sont :
Ports
[modifier | modifier le code]- Ports en Provence-Alpes-Côte d'Azur :
- Rade de Toulon,
- Port Lympia (port de Nice),
- Port de Marseille,
- Port Hercule (Port de Monaco).
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (8 °C) et peu de brouillards[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 950 mm, avec 6,4 jours de précipitations en janvier et 2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cogolin_sapc », sur la commune de Cogolin à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 15,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 958,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42 °C, atteinte le ; la température minimale est de −9,5 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Sismicité
[modifier | modifier le code]- La commune est classée en zone de sismicité faible[11].
Hydrographie et eaux souterraines
[modifier | modifier le code]Cours d'eau sur la commune ou à son aval[12],[13] :
- La Garde (rivière).
- vallons des Bertrands, de Belleïman, de Sartouresse, de Vanadal, de Basset, du Débat, des Migraniers, du Cros d'Aillé, de Réoulet, de la Tourre, de Val Daubert,
- ruisseaux de Fenouils, des Mourgues, de Règue Courte, de la Berthe, de Langastoua, de Val de Gilly, de Gagnal, de Brugassier, de Pignegut, du Pas de Sept Hommes, de Pedeban, d'Emponse, d'Infernon.
- val d'Arnaud.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'un plan local d'urbanisme (PLU)[14],[15] et d'un Plan de prévention du risque inondation (PPRI)[16].
La Communauté de communes du Golfe de Saint-Tropez a lancé en 2014 une démarche de révision du Schéma de cohérence territoriale (SCOT) terrestre en l’assortissant de l’élaboration d’un volet littoral et maritime (VLM)[17].
Typologie
[modifier | modifier le code]Au , La Garde-Freinet est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18]. Elle est située hors unité urbaine[19] et hors attraction des villes[20],[21].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 1,5 % | 114 |
Vignobles | 4,4 % | 337 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 1,6 % | 125 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 4,5 % | 348 |
Forêts de feuillus | 29,3 % | 2247 |
Forêts de conifères | 1,0 % | 78 |
Forêts mélangées | 7,4 % | 564 |
Végétation sclérophylle | 49,1 % | 3761 |
Forêt et végétation arbustive en mutation | 1,2 % | 92 |
Source : Corine Land Cover[22] |
L'occupation des sols montre une nette prédominance de la végétation arbustive et/ou herbacée (50,3 %) sur la forêt (37,7 %) et sur les territoires agricoles (10,5 %) ainsi qu'une faible urbanisation du territoire.
Toponymie
[modifier | modifier le code]La Garde-Freinet s'écrit La Gàrdi provençal classique ou La Gàrdi (mais aussi La Gardo-Freinet) selon la norme mistralienne[23]. La prononciation est la même puisque le -a final du féminin est muet après un -i dans les dialectes maritimes et rhodaniens, raison pour laquelle Joseph Roumanille n'a pas voulu réintégrer cette lettre dans son écriture phonétique.
Freinet, du latin fraxinetum, « bois de frêne ».
Héraldique
[modifier | modifier le code]L'armorial[25] et le blason de La Garde-Freinet[26].
Histoire
[modifier | modifier le code]IXe siècle : En 889, un raid arabe s'empare de La Garde-Frainet et leur « garnison durant près d'un siècle soumet les populations voisines à des razzias continuelles et menace les routes qui, à travers les cols des Alpes, vont de France en Italie[27] ». Ce lieu est aussi évoqué sous d'autres patronymes dont celui de Fraxinet[28] ou Fraxinetum. Les Arabes lui donne le nom Jabal al-Qilal, « montagne des jarres », car ils y auraient trouvé les restes d’une industrie gallo-romaine[29].
L'histoire rapporte que c'est le comte de Provence Guillaume Ier dit le Libérateur qui chasse les Sarrasins en 973 après sa victoire à la bataille de Tourtour après 80 années de présence sarrasine au nord des Pyrénées.
Philippe Sénac[30], en s’appuyant sur les sources arabes et les données de l’archéologie[31], montre combien le Fraxinet, ne constituait pas un simple repaire de brigands mais un emplacement stratégique pour les musulmans qui semblaient vouloir « entraver les relations entre les cités marchandes italiennes et le reste de la chrétienté méridionale ». Toujours selon Philippe Sénac il n'est pas « du tout exclu que le Fraxinet ait été le théâtre d'une symbiose communautaire, ce qui tendrait à expliquer sa longévité »[32].
XIIe siècle : à 450 m d'altitude, on découvre le fort Freinet (XIIe au XVIe siècle) et les vestiges d'un ancien village fortifié du Moyen Âge, constitué d'une trentaine d'habitations taillées dans la roche. Ils dominent le massif forestier des Maures sur la voie reliant la vallée de l'Argens et le golfe de Saint-Tropez. Ce fort stratégique, classé monument historique, servait à contrôler le passage entre la vallée du Vidauban et le golfe de Grimaud. Une grande fosse servait de réservoir d'eau. Il s'étend sur 120 m2 et est composé de cinq vastes pièces. La rue principale le sépare du reste du village constitué des maisons troglodytes.
XIIIe siècle : les habitants s'installent sur le col de la Garde. Le bourg devient : « La Garde du Freinet ». Un Rostagni (?-v.1341) était connu pour être seigneur de Châteaudouble (1324) et de La Garde-Freinet (1327)[33]. Il reçut donation de l'albergue de ces deux villages[34].
XIXe siècle : l'industrie du bouchon se développe avec près de 700 bouchonniers grâce à la forêt de chênes-lièges. À cette époque, la production de marrons et de magnan (ver à soie) est également bien développée.
Dans le livre " La Fortune des Rougon Macquart " Emile Zola a donné le nom de La Palud à La Garde-Freinet
En 1900, l'abbé Mathieu dresse la croix des Maures (altitude 437 m), restaurée en 1978. Le Christ pesait 175 kg.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2021
[modifier | modifier le code]En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[36] :
- total des produits de fonctionnement : 2 705 000 €, soit 1 417 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 2 048 000 €, soit 1 073 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 794 000 €, soit 416 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 1 537 000 €, soit 805 € par habitant.
- endettement : 519 000 €, soit 272 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 20,05 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 28,53 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 67,47 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : Médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 010 €[37].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Frédéric Mistral a confirmé que le nom du village était "La Gardi", vocable relevé dans un document datant de 1143.
Les habitants se nomment :
- appellation usuelle : d’après Frédéric Mistral les habitants se nomment les Gardois et les Gardoises ou Gardiòu et Gardiolo en provençal. Il confirme qu'en dialecte provençal varois, ils s'appelaient Garduou et Garduelo.
- L'appellation Fraxinois ou Fraxinetains n'est absolument pas fondée historiquement.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].
En 2021, la commune comptait 1 831 habitants[Note 2], en évolution de −2,5 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune est située dans l'académie de Nice
- École maternelle et élémentaire[42].
Les établissements scolaires les plus proches[43] :
- Collèges à Cogolin,
- Lycées à Gassin, Draguignan, Le Muy, Lorgues.
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels de santé sur la commune[44] : Médecin, pharmacie, dentiste, kinésithérapeute, cabinet d'infirmiers.
Cultes
[modifier | modifier le code]Culte catholique, paroisse La Garde Freinet[45], secteur : Saint Tropez. Diocèse de Fréjus-Toulon[46],[47]
Loisirs
[modifier | modifier le code]De nombreuses promenades sont proposées :
- La croix des Maures : balade de 40 min à travers un sentier botanique avant d'arriver à la croix. On a une vue superbe du village, des Alpes du Sud, du massif des Maures, du rocher de Roquebrune-sur-Argens, du golfe de Saint-Tropez et parfois de la montagne Sainte-Victoire ;
- Visite guidée du fort et de son histoire pendant 45 min ;
- Le chemin des crêtes : balade d'1 h 15 en passant par la croix et le fort.
La commune dispose d’un panorama sur le Massif des Maures et jusqu'à la Méditerranée, avec forêts de chênes-lièges et de châtaigniers. Dans les campagnes, poussent une végétation de maquis, adaptée au climat de la Provence (ciste de Montpellier, lavande, immortelles, genêts épineux...).
Il y a également plusieurs fêtes tout au long de l'année : foire aux santons avant Noël, fête de la transhumance au printemps, foires de la châtaigne en octobre.
Événements
[modifier | modifier le code]Le , La Garde-Freinet est endeuillée par la mort de trois sapeurs-pompiers du centre de secours principal de La Seyne-sur-Mer, sur la D 14 commune de la Môle, lors d'un feu de forêt provenant de La Garde-Freinet[48].
Le , La Garde-Freinet est de nouveau endeuillée par un accident de camion de pompiers sur la D 558, avec la mort de trois pompiers du centre de secours de Puget-Ville.
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- Culture de la vigne.
- Élevages d'ovins et de caprins.
- Élevage de chevaux et d'autres équidés.
- Exploitation forestière.
Tourisme
[modifier | modifier le code]- La commune dispose de 3 hôtels, d'un camping et de chambres d'hôtes[49].
Commerces
[modifier | modifier le code]- La commune dispose de 15 restaurants et 3 cafés[50].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Patrimoine religieux :
- La chapelle Saint-Jean[51], face à la mairie a été achetée par la commune afin de proposer un centre culturel rayonnant sur toute la région. L'office de tourisme s'est implanté dans le bâtiment.
- La cloche de 1680 de la chapelle Notre-Dame de la Moure (de-Bonne-Garde)[52],[53].
- La chapelle Saint-Éloi[54].
- La Chapelle Saint-Clément[55].
- Chapelle Notre Dame de Miremer[56].
- La ville possède bien sûr une église avec une cloche de 1698, typique de la région[57],[58] et un autel en marbre.
- Le monument aux morts[59],[60].
- La Croix de La Garde-Freinet[61],[62].
Patrimoine civil :
- L’ancienne mairie & la prison[63].
- Le Fort-Freinet[64],[65].
- Le lavoir[66],[67].
- Une vieille fontaine se trouve non loin d'un lavoir, entre la place du marché et l'église : La fontaine vieille[68].
- Pont du Moyen Âge sur l'Aille. Le Cannet-des-Maures, entre Le Luc et La Garde Freinet : inscription sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques, par arrêté du 22 juin 1943[69].
-
L'église.
-
La fontaine.
-
Haut du lavoir.
-
Lavoir.
-
Place du marché.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Henri Andréani (1877-1936), acteur et réalisateur, y est né.
- Anna Karina (1940-2019), actrice franco-danoise, a vécu dans ce village.
- Serge Rezvani (né en 1928), peintre et écrivain, a vécu dans ce village.
- Jan Vakowskaï (1932-2006), artiste peintre, a vécu dans ce village.
- Jeanne Moreau (1928-2017), actrice, a vécu dans la commune, à Préverger. Le tournage du film Lumière, dans lequel elle joue a en partie été tourné à Préverger[70]
- André Pousse (1919-2005), acteur, s'y était retiré et ses cendres ont été dispersées dans sa propriété[71].
- Xavier Bohl (né en 1954), architecte et urbaniste, y vit.
- Henri Fille-Lambie, alias Jacques Morlane ou Morlanne (1919-1978), résistant , colonel et fondateur du Service Action.
- François-Régis Bastide (1926-1996), écrivain et ambassadeur.
- Jean Bilski (1954-1976), anarchiste qui assassina le 14 mai 1976 du PDG du Crédit Lyonnais Jacques Chaîne et se suicida juste après, vécut à la Garde Freinet dans les années 1970.
- Eugène Saccomano (1936-2019), journaliste, célèbre commentateur sportif et écrivain en a été conseiller municipal, y a passé sa retraite et y est inhumé.
- Tony Richardson
- Vanessa Redgrave
- Roger Bellon
- Christopher Tolkien
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Le Fort-Freinet à La garde-Freinet, Revue du conseil départemental du Var, no 4 Hiver 2017-2018, p. 74
- La Garde-Freinet, sur l'Observatoire du patrimoine religieux
- La Garde-Freinet, sur provence7.com/
- Conservatoire du patrimoine du Freinet. Freinet, pays des Maures no 6 2005-2006
- Atlas des patrimoines : La Garde-Freinet
- Études et recherches du Service régional de l'inventaire :
- Bourg castral de la Garde-Freinet « bourg castral de la Garde-Freinet », notice no IA83001287, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Bourg castral de la Mourre « bourg castral de la Mourre », notice no IA83001171, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Bourg castral de Miraval « bourg castral de Miraval », notice no IA83001170, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Bourg castral de la Garde-Freinet
- Photothèque Archéologie :
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4e trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)La Garde-Freinet, p. 503
- La Garde-Freinet, Cavités du Var : Fort Freinet
- Cavités naturelles du Var : La Baume des Maures / Phase Néo-Chalco
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Var
- Huile d'olive de Provence AOC
- Anciennes communes du Var
- Fraxinet, base militaire sarrasine établie à La Garde-Freinet au Moyen Âge
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Site de l'office de tourisme
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
- Système d’information géographique du Var (SIG Var : La Garde-Freinet)
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
[modifier | modifier le code]- Rapport de présentation du plan local d'urbanisme : Chapitre 4 : État Initial de l’Environnement, p. 92 à 155
- Itinéraire
- Réseau régional de transports en commun
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre La Garde-Freinet et Cogolin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cogolin_sapc », sur la commune de Cogolin - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Cogolin_sapc », sur la commune de Cogolin - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
- Didacticiel de la règlementation parasismique
- L'eau dans la commune.
- « Cours d’eau de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- PLU
- PLU sur Géoportail de l'urbanisme
- P.P.R.I.
- Schéma de cohérence territoriale (SCOT) terrestre, assorti de l’élaboration d’un volet littoral et maritime (VLM)
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de La Garde-Freinet ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
- Gardo-Freinet, Lou Tresor dou Felibrige, Frédéric Mistral, https://www.lexilogos.com/provencal/felibrige.php?q=gardi
- Canton de Grimaud : La Garde-Freinet, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
- La Garde-Freinet - La Gardo-Freinet
- Blason de La Garde-Freinet
- Henri Pirenne, Les villes du Moyen Âge, Bruxelles, Lamertin, 1927, p. 31.
- A. Schulte, Geschichte des Mittelalterlichen Handels und Verkehrs zwischen Westdeutschland und Italien, Leipzig, 1900, t. II, p. 59. - Note sur le Fraxinet des Maures, Annales du Sud-Est varois, tome XV, 1990, p. 19-23.
- « Des Maures et des Sarrasins en France », .
- Histoire de l'Islam et des musulmans en France du Moyen Âge à nos jours, sous la direction de Mohammed Arkoun, préface de Jacques Le Goff, A. Michel, 2006 (ISBN 2-226-17503-2), p. 40.
- Islam et chrétiens du Midi (XIIe au XIVe siècles), Colloque de Fanjeaux (18 ; 1982), éd. Privat, 1983 (ISBN 2-7089-3417-1).
- Philippe Sénac, Provence et piraterie sarrasine, Maisonneuve et Larose, 1982, p. 70.
- AD du 13, série B1519f162 et B1835f200
- AD du 13, série B1519f162
- Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques (1897), pp.412-413 « [1]
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- École maternelle et élémentaire
- Les établissements scolaires les plus proches
- Professionnels de santé
- Paroisse Saint-Clément de La Garde-Freinet
- La Garde-Freinet
- Chapelle de la Moure
- La cérémonie officielle à la mémoire de ces pompiers.
- Accueil touristique
- Restauration
- La Chapelle Saint-Jean
- Notice no PM83000323, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de la chapelle Notre-Dame de la Moure (de-Bonne-Garde)
- L’église du Hameau de la Mourre
- La chapelle Saint-Éloi
- La Chapelle Saint-Clément
- Chapelle Notre Dame de Miremer
- Notice no PM83000324, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église Saint-Clément
- L’église Saint-Clément
- Monument aux morts de La Garde-Freinet
- Monument aux morts, Mémoires de guerres du Var
- La Croix de La Garde-Freinet
- La croix des Maures
- L’ancienne mairie & la prison
- Le Fort-Freinet
- Du Fort Freinet aux Roches Blanches
- Le lavoir
- Inventaire des lavoirs du Var
- La fontaine vieille
- Notice no PA00081569, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- "Lumière" sur le site http://www.jeannemoreau.fr/portfolio/lumiere/.
- "L'acteur fétiche de Michel Audiard, André Pousse, est mort", Le Monde avec AFP, 9 septembre 2005